Fédération D'armara
Micronation virtuelle du Micromonde Francophone
HISTOIRE
L'histoire d'armara est riche, tout en étant fort récente. C'est peut être aussi ce qui fait aussi notre force. Vous decouvrirez, dans les pages qui suivent, l'histoire d'Armara de ses début à la période moderne.
Période 1782 à 1830
La découverte :
En 1782, Jean Chabot fut le premier à poser le pied sur notre continent, à l'extrême nord de l'actuelle province de Romitois, future première colonie de Grandbois. Il fut le premier à nouer un contact avec la population autochtone. Par la suite, les premiers colons arrivèrent de toutes les Micronations, attirés par la profusion de poissons et les fourrures des animaux locaux. Dans tous les comptoirs de cette première colonie, le commerce de la fourrure avec les Autochtones, est très florissant. Les premières fortunes se font, attirant de plus en plus de colons arrivant du Micromonde.
En 1790 Henri Fusson Fonda une nouvelle colonie plus au sud, il acheta l'ensemble du territoire de Comptoise pour 100 pièces d'or aux indigènes.
Jusqu'en 1800, l'arrivée massive de colons oblige les autorités à acheter des terres aux indigènes. Au cours des 10 années des explorateurs tel Léon Pons, étendent les possessions vers les régions de Vermilia, Collines et Rivier.
Armara à l'ère moderne : Le port de York
1800-1830 : Les premières colonies
En décembre 1800 la colonie de Grandbois décide de se déclarer Royaume indépendant de GrandBois.
La plus grande des colonies se dote rapidement d'institutions monarchiques et nomme comme premier souverain Jean Ier Âgé de 25 ans à peine, il régnera jusqu'en 1845.
Les autres colonies craignant alors pour leur indépendance se proclamèrent comme républiques indépendantes et souveraines. Comptoise, choisi Henri Fusson comme premier président.
En effet, Léon Pons (1767-1833) proclama l'Indépendance de la République de Vermilia, Jacques Parquette (1765-1841) celle des Collines, et Louis de la Jonquiet (1774-1827) celle de Rivier, à contrecœur, puisqu'il était noble. Il proclama donc "l'Union" avec la patrie-mère et se déclara premier ministre.
Mais la patrie mère refusa cette modération et envoya en 1801 des troupes reconquérir les colonies indépendantistes. Jean Ier put décréter la mobilisation générale et résister aux envahisseurs. Mais les républiques subirent des pertes sévères et Henri Fusson mourut au combat. Francis Moore (1769-1824) lui succéda et convainquit Pons, Parquette et La Jonquiet de former une fédération afin de résister en commun. La victoire survint en 1804, appuyée par les indigènes et les quatre colonies restèrent groupées, de peur d'une nouvelle attaque.
Les échanges commerciaux commencent avec le sud, alors que Grandbois est ignoré et mis à l'écart pour son désintérêt honteux.
Le système politique était un conseil des quatre, mais la majorité était difficile à trouver...
A Suivre...
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